Intervenant à la suite de l’arrêt de la circulation sanguine dans une partie du cerveau, l’AVC prive la personne atteinte de ses facultés et provoque une importante perte d’autonomie. Quel type de soutien faut-il apporter en tant que proche aidant ? Qui peut vous assister ? Quelles aides financières après un AVC ?
L’AVC, une maladie chronique handicapante
Les aides à apporter à un patient ayant subi un accident vasculaire cérébral (AVC) varient en fonction de la gravité de la situation, du handicap provoqué ou de la nouvelle situation de dépendance qui en découle. Elles évoluent également dans le temps en fonction du niveau de récupération de la personne concernée, grâce à la rééducation par exemple.
Si vous êtes un proche aidant, cette aide sera autant psychologique que fonctionnelle. Les aidants familiaux, membres de la famille ou amis de longue date jouent un rôle essentiel dans la récupération, en encourageant le patient dans ses progrès et le retour vers l’autonomie.
Une aide financière après un AVC ? Quel droit après un AVC ?
Les accidents vasculaires cérébraux peuvent avoir des conséquences très différentes selon les patients, mais ils ont presque tous pour effet de réduire l’autonomie des personnes atteintes : difficultés à s’exprimer, perte de la motricité ou de la sensibilité dans un membre, pertes de connaissance répétées, troubles de l’équilibre avec risques de chutes de la personne âgée, trouble de la vision, etc.
Ces séquelles sont généralement difficiles à accepter. L’impossibilité de parler, de conduire, voire de se déplacer dans son propre logement est une étape douloureuse, qui génère beaucoup de frustration. Dans les cas graves, une aide à la toilette doit être apportée.
Après un AVC, un suivi médical adapté est mis en place, avec différents professionnels de santé pour la rééducation. Les personnes ne pouvant plus se rendre au travail bénéficient d’une aide sociale et de diverses aides financières après un AVC (le montant varie en fonction du niveau de handicap) :
• Pension d’invalidité ;
• Allocation personnalisée d’autonomie ;
• Allocation adulte handicapé ;
• Matériel médical à domicile ;
• Etc.
Solution courante : le recours à un auxiliaire de vie à domicile
Si les besoins de votre proche affecté par un AVC sont trop importants pour que vous puissiez les assumer seul, ou si votre profession vous empêche d’être présent autant que vous le souhaitez, la meilleure solution est de faire appel à une auxiliaire de vie à domicile. Une tierce personne qui interviendra directement au domicile de la personne dépendante.
Il est essentiel de faire appel à des auxiliaires de vie bien formés et diplômés, et de préférence en capacité de justifier une expérience d’au moins quelques mois ou années. Ainsi, la personne affectée par un AVC pourra bénéficier des services de qualité.
D’autre part, les services et produits de téléassistance à domicile, comme par exemple le détecteur de chute, permettront à la personne âgée d’être constamment sécurisée chez elle, notamment lorsqu’elle est seule.
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